Histoire de la Geobiologie

"Il est plus facile de briser un atome que de briser un préjugé"

Albert Einstein


Celtes, Etrusques, Chinois, Egyptiens ou encore Grecs, tous ces peuples avaient compris l’importance des influences telluriques dans le choix des lieux pour s’y établir, aucun romain n’aurait établit une construction sans les conseils d’un oracle qui loin des clichés de nos cultures était en fait un sage sachant observer la nature  en mesurer et en interpréter les manifestations.

 

Ce savoir c’est transmis au long des millénaires, citons par exemple, le “Corpus Agrimensorum Romanorum” traité d’arpentage du 4ème siècles qui décrivait précisément comment les architectes romains devaient tenir compte du quadrillage tellurique pour établir les constructions suivant leur nature.


Les bâtiments requérant un caractère sacré ont toujours été établis au croisement de ces lignes, citons les dolmens, les menhirs, les temples (les divers temples du Forum Romanum ont par exemple été bâtis sur des nœuds Hartmann) ou la Columna Traiani (colonne Trajane à Rome) bâtie sur un croisement du grand réseau sacré, sans parler des Cathédrales comme Chartres, Strasbourg, Canterburry voir l’ancienne Cathédrale St Lambert de Liège dont le cœur se situe ici encore sur un croisement remarquable de lignes telluriques.

 

Avec le siècle des lumières et son besoin de rationalisme ce savoir est tombé en désuétude surtout dans les villes. Dans les villages, leurs usages c’est perpétués mais de façon plus discrète comme pour éviter la stigmatisation.  


Le docteur Ernest Hartmann expérimenta et démontra, après la seconde guerre mondiale, une influence environnementale sur la santé. Il venait de redécouvrir, en lui offrant son nom la Géobiologie.

A notre époque avec ce besoin croissant de valeurs moins empreintes de domination de matérialisme et de cartésianisme, nous retrouvons peu à peu ces savoirs ancestraux.


Les animaux ont moins de scrupules à vivre et profiter de leurs ressentis, en effet, le chat raffole des nœuds géopathogènes, idem pour les fourmis qui bâtissent leur fourmilière sur des nœuds Hartmann; les chiens et les chevaux quant à eux fuient tous croisements de quelle nature que se soit. 

Les plantes n'échappent pas non plus à ces phénomènes, nous connaissons tous un "coin" dans nos maisons ou aucunes plantes n'arrivent à vivre et à se developper. Nous avons tous déjà vu un arbre tordu qui semble fuir son lieu d'enracinement.

Curieusement, on retrouve à ces endroits une singularité tellurique.


Ces dernières remarques nous plongent dans une réflexion plus profonde, de l'humain ou de la nature, qui est le plus rationnel ?