GEOBIOANALYSE

Quand geobiologie rime avec sécurité

Nombres de personnes m’ont déjà entendu pester contre les multiprises, loin de dénigrer ces ustensiles au combien plus sécurisant que les               « dominos » surchargés d’antan il conviendrait toutefois de les utiliser avec prudence et bon sens.

Une première approche est de ne pas surcharger la multiprise, combien de fois ne trouve-t-on pas ces appareils branchés en cascade, soyons logique, et réalisons bien que la somme totale de la puissance transite par un seul point de contact, pauvre point !

Seconde approche, gardez toujours vos multiprises à vue, il s’agit d’un point sensible alors évitons de les cacher sous les meubles afin de détecter les éventuels problèmes à temps.

Troisième approche geobiologique cette fois, le contact parfait n’existant pas, la résistance de ce dernier s’apparente à un appareil électrique avec sa puissance, sa dissipation calorifique et son rayonnement électromagnétique certes négligeable mais évitons toutefois sa présence sous un lit d’autant plus si ces horribles chargeurs à découpage si pratique par leur taille mais au rayonnement HF impressionnant y sont connectés, n’oublions pas que nous passons en moyenne 7 heures par jour couché dessus.

Voici maintenant un retour vers la réalité concrète d’une multiprise sous un meuble, les habitants n’ayant été alertés que par l’odeur de plastique échauffé.

Le chargeur n’est nullement à incriminer, il s’agit ici d’un « simple » défaut de contact

Ni le disjoncteur du circuit (pas de sur intensité) ni le disjoncteur différentiel (pas de perte vers la terre) n’ont réagit

Cette situation allait perdurer jusqu’à la catastrophe.

De plus, imaginons les émanations nocives que les habitants ont respirés au fil du temps.

Conclusion, utilisons les avec prudence et bon sens